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COMMUNE PRESENCE

Auteurs

Marine Arena-Crabbé

1978 – Le vide essentiel, en collaboration avec le dessinateur Philippe Mérindol, ouvrage non édité, éditeur prévu ayant fait faillite avant. (Pseudonyme : Marine Warn)

1992 – La Femme aux Cigares, Ed. La Vague à l’âme sous le pseudonyme Marine Lafforgue

1994 – 1998 – Reprise études de philosophie, mais écriture de recueils de poème (18 ans d’emprisonnement pour un poème d’amour, notamment)

Projet professionnel sur la gestion des connaissances qui interrompt un moment l’activité littéraire.

2008 – 2010 Participation à la Lune et les étoilesen tant qu’auteure en collaboration avec des photographes, chronique quotidienne sur le crépuscule des jours.

2010 – 2014 Master de philosophie, histoire de la philosophie, à la Sorbonne

2011 – 2012 Participation au Crépuscule des jours, site sur Facebook après interruption du site de la lune et les étoiles, auteure collaborant avec une photographe

2011 – 2014 Concepts audacieux et autres discours fallacieux, pas de recherche d’éditeur

2012 – 2018 Participation au nouveau site du Crépuscule des jours, auteure en collaboration avec des vidéastes

2017 - En collaboration avec Jean Luc Cormier, auteure des textes sur les Masques.

Travaille actuellement sur un roman de science-fiction.

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Jean Luc Cormier

 

Formé au «learning by doing», JeanLuc Cormier est un artiste français né en 1956. Son travail intéresse la photographie, la vidéo et l’écriture qu’il convoque autour de la problématique de l’acte de voir. Il enseigne dès le début des années 1990 la pratique de la chambre photographique à l’Ecole des métiers de l’image Mi21 à Montreuil et lance en parallèle CasaNera, un regroupement d'artistes utilisant essentiellement ce type de procédé. Membre du collectif Le bar Floréal.photographie de 1997 à 2006, il a été par ailleurs directeur de stages dans le cadre de la Formation Continue à l’Ecole Nationale Supérieure Louis-Lumière et professeur à l’école internationale The Photo Academy. De 2004 à 2007 il dirige des stages lors des Rencontres d’Arles. Pour JeanLuc Cormier, poser la question du lieu, c’est d’abord s’interroger sur « l’avoir lieu de l’œuvre ». Ainsi tout son travail s’inscrit-il à des degrés divers dans une problématique de l’acte de « voir des lieux où voir a lieu », et partant, il remet en cause la place du regard dans la mécanique visuelle.

 

 

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Marie-Pierre Guillon

 

Marie-Pierre Guillon réalise des installations qui rendent  possible la mise en présence de plusieurs disciplines artistiques.Elle utilise des techniques sérielles qui permettent de multiplier les variations, les nuances et  développe des recherches liées à la broderie en relation avec la photographie : prendre le temps de tracer, gestuelle lente qui n’est pas la souplesse du dessin.

On peut distinguer dans sa pratique trois grands champs d'investigation : La lumière, le temps, l’espace. A travers ces trois champs quelques thèmes récurrents apparaissent:

 

- l’ambivalence des images, les énigmes visuelles qui intensifient l’attention et génèrent un mystère une ambiguité...  saisir l’aspect onirique du monde,laisser le regardeur s’approprier les formes comme on les découvrirait dans les nuages.

 

- les transfigurations, qui sont de plusieurs ordres. Il y a les effets visuels qu’apporte en elle-même la lumière dans sa matérialité, ses propriétés qui changent constamment la forme des apparences dès qu’elle rayonne par prismes, en reflets ou lorsqu’elle est en mouvement, stimulant l’imagination, créant différentes relations entre les choses, dans leurs tensions et leurs positions.

 

- l'impermanence , comme mouvement transformateur, nous confronte à la mort, à la déchéance, à la finitude mais aussi à l’infini. L’eau, les fissures du sol, les alternances de la lumière, mais aussi les objets jetés, leur désagrégation sont ses matériaux principaux pour la traduire. 

 

 - L’éphémère est une manière de nommer l'expérience que nous faisons du temps .C’est surtout à travers ses installations que l’éphémère s'exprime. Elle ne refait jamais la même installation, et se libère ainsi de la pérennité. L’enjeu est de faire quelque chose d'unique, dans un lieu nouveau   avec ses particularités propres, qui entraine certaines décisions, des choix de matériaux spécifiques. la mise en forme de la matière dans l’espace prend alors une urgence particulière à cause de son caractère fugitif.

L’espace  extérieur ou intérieur, n’a jamais la même configuration  Il y a un espace fonctionnel, rationnel, physique, pragmatique sur lequel on peut projeter, formaliser et un espace affectif, atmosphérique, qui nous influence, qu’on influence, saturé de nos émotions, de nos perceptions, de nos humeurs et traversé par des forces, des vibrations, des tensions : l'espace est toujours un espace en mouvement.

Ses outils principaux sont le métal, le fil et les moustiquaires, la photographie et le film.

 

 

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Nicolas Lemarin

 

- De 1963 à 1966 écrit diverses pièces de théâtre et poèmes.   Poème publié en 1963 dans « l'Écho  de la mode »(!?) et dans la revue de poésie belge le Taureau. Entre au Club des poètes de Jean Pierre Rosnay et participe à diverses émissions de radio et TV.
- 1967 devient comédien et crée le premier café théâtre OFF d'Avignon.
- 1968 service militaire dans l'infanterie de marine  
- De 1969 à 1971 crée la maison d'édition l'Atelier des Grames avec Émile Bernard Souchière et Yves Lemoine. Directeur artistique du Festival multidisciplinaire de Gigondas : An 1 - An 2 - et An 3 .  
 - 1971 : Directeur artistique du Festival de Baux de Provence.
- De 1972 à 2010 Abandonne le théâtre et l'écriture pour se confronter à la vie sociale.
  Animateur animalier, courtier en œuvres d'art, vrp en portes clefs, vendeur d'objets d'Extrême-Orient et Pré-Colombien,  puis  Agent commercial de marbrerie et chef d'entreprise.
- De 2010 à 20..  Retraité, retrouve l'écriture et grâce au haïku découvre le haïbun et le tanka.

- De 1966 à 1971: Pièces de théâtre représentées :   D'une haute plate forme -  La fusée opaque -  Demain les autres - La chose - Voleur d'enfance.
- Publications : Ortives - L'attente d'une silhouette -La chose  aux Éditions de l'Atelier des Grames.
- Depuis 2013 publication dans des revues sur le net :  Ploc – Cirrus – L'écho de l'étroit chemin.
  Sur papier : La revue du Tanka Francophone –  Revue  « Traversées » ( Belgique)

 

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Philippe Pujas

 Poète, journaliste, Philippe Pujas dirige POLICULTURES, une publication mensuelle sur les politiques culturelles.

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Salvatore Tempo

Né en 1961, écrivain autodidacte. Quelques recueils Poésie de femme, Terre de vers, Par quoi la chair, Rubbis Eclats pour un passant, La sandale qui vieillit.

Passionné de haïkus depuis 2012, puis par la suite de senryu, tanka, haïbun, tout ce qui a trait aux poèmes courts japonais. Plusieurs fois Prix honorables et second prix au concours international  de haïku du Mainichi. Parution de textes à la  Revue Haïku du Canada et Revue francophone du tanka.

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